Le confinement est une situation dans laquelle les autorités politico-administratives imposent une restriction des libertés de sortir à la population. Ce dernier a été adopté par plusieurs pays en début d’année 2020 pour diminuer le taux de contagion du coronavirus. Cette obligation de rester chez soi, bien qu’elle soit pour préserver la santé des citoyens, a engendré d’autres situations. Il s’agit par exemple de la baisse des fumeurs dont quelques échos sont fournis dans cet article.
L’effet du confinement sur les ventes de cigarettes
La période de février à mai 2020 aura été marquée par des prises de barrières dans tous les pays du monde. Cette situation inédite est la conséquence directe de l’épidémie du COVID-19, qui aura fait d’importants ravages. Ainsi, les populations de tous les coins de la planète ont été priées de rester chez eux.
D’importantes mesures ont été prises, notamment l’interdiction des rassemblements, la fermeture des frontières et l’annulation des évènements sportifs et culturels. En étant confinées à domicile, certaines personnes se sont adonnées à de nouvelles pratiques et d’autres au télétravail. Plusieurs fumeurs de par le monde ont multiplié leur consommation de tabac en stock. Ceci aura été de courtes durées pour certains puisqu’il y a eu des ruptures de stock.
En effet, les ventes de cigarettes ont été majoritairement interrompues et l’accès aux départements frontaliers pour s’approvisionner se trouve difficile. Cet état de choses a engendré le détour de certains fumeurs qui se sont réorientés vers d’autres activités.
Pourquoi la baisse de consommation de tabac est-elle liée au confinement ?
Le confinement vécu ces dernières semaines a engendré un important changement de comportement chez plusieurs hommes. Bien que la majorité des fumeurs ont maintenu leur consommation stable et d’autres l’ont augmenté, certains ont plutôt jeté l’éponge. La difficulté d’approvisionnement du produit a occasionné une diminution de la consommation et par conséquent une baisse des fumeurs.
Certains d’entre ces derniers ont opté pour des activités de groupes qui les ont éloignés peu à peu du tabac. La hausse de la consommation enregistrée a eu lieu principalement chez les jeunes et les personnes travaillant à distance. En passant plus de temps avec la famille et les enfants, il est assez difficile de penser à fumer. C’est le cas des personnes fumant en cachette qui ont été retenues dans leur élan.
L’imposition du confinement et la fermeture des frontières liées au nouveau coronavirus ont ainsi diminué le tabagisme passif. Celui actif a toutefois continué avec une augmentation notée chez certaines personnes et une réduction ou abandon chez d’autres.
Éviter le tabagisme passif, renforcer les défenses immunitaires… Pour quelles raisons les fumeurs ont-ils arrêté ?
L’augmentation de dose engendrée chez plusieurs fumeurs est due essentiellement à :
- L’ennui et le stress ;
- Le manque d’activités ;
- La sensation et le plaisir.
D’autres consommateurs ont préféré diminuer, voire abandonner leur consommation pour différents motifs. Il s’agit principalement des personnes dont la fonction a été assez sollicitée pendant le confinement (médecins, policiers). Plusieurs fumeurs du troisième âge ont également abandonné le tabac pour préserver leur défense immunitaire contre le virus. Enfin, on peut noter certaines familles dans lequel le fumeur décide d’arrêter de fumer pour éviter le tabagisme passif de ses proches.
Les fumeurs vivant dans des zones isolées ou en manque de produits font aussi partie des personnes ayant arrêté de fumer. La politique de confidentialité étant un élément très important dans le commerce du tabac, certains fumeurs n’ont pas été livrés. Le confinement est en effet une période pendant laquelle ont eu lieu d’importants contrôles policiers.
Il y fallait donc assez de vigilances dans les actes. Ces différentes situations ont eu comme conséquence la baisse de fumeurs dans des catégories très spécifiques.